

Heureusement, maigre consolation, il y a tous ces bénévoles qui viennent à leur aide, ces couples ou familles qui hébergent temporairement des enfants seuls, des réfugiés qui ne tiennent plus; il y a tout l'organisation du camp, l'accueil des femmes, celui des enfants, ces hommes qui se réorganisent, vendent leur propre pain, leur service de barbier dans des échoppes improvisées, bien souvent malheureusement pour rembourser leurs dettes aux passeurs qui les a fait venir jusqu'ici.
Puis, à la fin du livre, quelques sites d'associations pour essayer de vaincre ce sentiment d'impuissance face à une situation terrifiante.
Et puis, cette phrase qui commence le récit:
"Ne laissons pas s'inscrire aux frontières de la France la devise qui orne l'entrée de l'Enfer de Dante: "Toi qui entres ici abandonne toute espérance.""
Voici l'adresse de l'association l'Auberge des Migrants: http://www.laubergedesmigrants.fr/
